Tous concernés, ayons les bons réflexes !
Les possibilités d’économies d’eau sont nombreuses, car seule une infime partie de cette eau est destinée à un usage alimentaire.
Économiser l’eau c’est aussi économiser l’énergie nécessaire à la chauffer (30 à 40 % de l’eau consommée dans un logement est chauffée).
Alors pour préserver nos ressources :
- Je repère les postes de consommations : Attention, la salle de bain et la cuisine sont les deux pièces à surveiller de près.
- Je m’équipe de matériel hydro économe (mousseurs, récupérateur d’eau de pluie, toilettes sèches…)
- Je traque les fuites : 1 robinet qui goutte = 100 Litres d’eau par jour.
- J’adopte les bons gestes au quotidien : prendre des douches plutôt que des bains, arroser le jardin le soir, utiliser l’électroménager en pleine charge, je lave ma voiture à l’eau de pluie…
La préservation de la qualité
Les bactéries fécales dans l’eau potable sont habituellement le résultat d’une contamination par un égout, une fosse septique, un parc d’animaux Bactéries (Coliformes fécaux) en particulier les bactéries pathogènes Escherichia coli.
Les pesticides peuvent contaminer des sources d’eau souterraine et des puits sur de très longues distances. Or les jardiniers résidentiels utilisent 10 fois plus de pesticide par acre (50 ares) qu’un agriculteur.
Par ailleurs, les antifoulings contiennent en forte concentration des produits chimiques toxiques pour la vie marine (biocides, TBT). Les métaux lourds retrouvés dans les eaux littorales proviennent des activités humaines (peintures, incinérateurs d’ordures, insecticides).
La réglementation impose depuis 2011 aux communes portuaires de proposer des aires de carénage pour limiter la pollution de l’eau.
Les sources de pollution sont donc nombreuses, et la préservation de la qualité de l’eau nous concerne tous dans nos usages au quotidien. Utilisez des produits d’entretien écologiques pour le ménage ou l’hygiène corporelle est déjà un très bon début…